A l’occasion du salon Big Data Paris 2018, nous avons sorti notre caméra et sommes allés à la rencontre des hommes et des femmes qui composent ce que nous appelons la #GENERATIONDATA.
Qu’est-ce que GENERATION DATA signifie pour vous ?
« Pour moi la GENERATION DATA c’est une époque où on vit et on travaille autour de la donnée. Par contre on ne peut pas en faire n’importe quoi : on doit la structurer, on doit la protéger, on doit sécuriser son transit, tout ça avec les standards technologiques les plus accessibles, les moins chers, les plus performants possibles. »
Jean-Guillaume Burlet, OVH.
« Pour moi ça représente le fait qu’aujourd’hui, dans le cadre des métiers qui existent, maintenant un peu partout dans le monde du travail, on doit de toute façon se mettre à la data. La GENERATION DATA à la fois c’est par goût, pour beaucoup de monde, mais aussi c’est de fait, tout simplement, parce que c’est comme ça que le monde évolue. »
Martin Rouault, Croix Rouge française.
« C’est la première fois qu’on s’intéresse vraiment à ce que va générer la donnée, pas seulement en termes de capitalisation ou de processus métiers, mais d’avoir vraiment une vision un peu « data-driven » des choses, c’est-à-dire qu’on fait quelque chose et on sait pourquoi on le fait. »
René Harig, Allianz.
« Pour moi c’est un mouvement qu’il ne faut pas laisser passer. C’est maintenant ou jamais. La France a besoin de 40.000 data analysts, préparateurs et autres et il faut les accompagner pour trouver ces jeunes et les amener vers ces nouveaux métiers parce que c’est une réelle opportunité pour eux et pour nous. »
Marc Sallières, Synaltic.
« Pour moi c’est des nouveaux professionnels qui mettent la donnée au cœur de l’intégralité de leurs décisions. Ils ont ce besoin de s’appuyer sur des éléments concrets pour faire avancer leur entreprise et avancer dans leur carrière. »
Nicolat Baret, Snowflake.
« C’est toutes les personnes qui maintenant vont naître et désormais on ne leur parlera que de données, que c’est la donnée qui est désormais le maître mot de l’économie. »
Charly Clairmont, Synaltic.
« La GENERATION DATA est une génération qui est sensible à la disponibilité de l’ensemble de ses données et qui va mettre tout en oeuvre pour valoriser l’ensemble de ses données. »
Alain Dalmau, Trifacta.
« La GENERATION DATA pour moi, c’est toutes les personnes, peut-être peu importe leur âge, qui utilisent aujourd’hui la data et qui ont découvert à travers ce mot ou en tout cas ce métier de manière générale, une vocation, une envie, une passion. »
Tristan Guillevin, Actinvision.
« GENERATION DATA, je pense que c’est la première génération qui depuis qu’elle est née a été plongée dans un monde où elle a eu accès à des services gratuits sur lesquels elle fournissait et envoyait des données partout, et qui aujourd’hui est amenée à se poser la question, que ce soit sur le plan éconmique mais aussi politique ou social, de qu’est-ce qu’ils vont en faire, comment ils vont les travailler et comment ils vont les utiliser. »
Balthazar Vialley, étudiant HEC.
« GENERATION DATA, je pense que maintenant il n’y a pas vraiment de différence entre, enfin chez les plus jeunes, entre « je suis connecté.e » et « je ne suis pas connecté.e », online et offline. Du coup on a ce partage de données qui est constant et je pense que c’est vraiment ça la GENERATION DATA. Et qu’avec la donnée, le plus important ça ne va plus être l’argent ou d’autres ressources, c’est vraiment la donnée, c’est l’information qui est le plus important. »
Lena Diascorn, Trifacta.
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